Des piliers d’équipes attachés à leur travail mais en attente d’un accompagnement spécifique.

Le décalage de rémunération avec les hommes persiste. Au-delà des questions salariales, la crise sanitaire, notamment avec l’extension du télétravail, a creusé certaines inégalités

Les augmentations de salaire se sont faites plus rares en 2020. En 2021, les cadres ont ajusté leurs attentes en matière d’augmentation salariale, mais restent confiants pour la suite.

Ce document dresse un panorama de la rémunération des cadres en poste, des salaires selon les fonctions et des salaires proposés dans les offres d'emploi.

Des mobilités en baisse sous l’effet de la crise.

Des profils à forte valeur ajoutée, notamment en période de crise : l'Apec s’est intéressée au vécu des 55 ans ou plus, dans un contexte où les profils seniors sont parmi les plus impactés par la baisse des intentions de recrutements de cadres.

La promotion 2019 frappée par la crise : la recherche d’emploi des diplômé.e.s 2019 s’est complexifiée face à la dégradation du marché de l’emploi sous l’effet de la crise sanitaire.

Cette étude montre qu'il reste encore du chemin à parcourir en termes de rémunération et d'accès aux responsabilités.

Cette édition 2020 montre que le salaire médian des cadres en poste, fixe et part variable, s’établit à 50 k€. Le salaire médian proposé dans les offres d’emploi est en moyenne plus faible que les salaires des cadres en poste.

Les rémunérations des cadres ont confirmé en 2019 la progression des années précédentes ; une consolidation qui pourrait être remise en question par la crise de 2020.

L’objectif de cette étude est notamment de comprendre à quoi correspond le portage salarial pour les séniors qui l’exercent. Ce pourquoi ils le choisissent et comment ils appréhendent le passage d’une activité salariée à une activité portée.

Des mobilités à niveau constant que la crise sanitaire et économique pourrait remettre en question.

Un début de carrière réalisé dans de bonnes conditions mais sur lequel pèse l’incertitude liée à la conjoncture.

Cette étude, menée en partenariat avec l’ESC Clermont et Clermont Recherche Management, porte sur les profils et les parcours des cadres en PME et rend compte de leurs représentations des petites et grandes entreprises.

Un écart de rémunération médiane de 8% subsiste si l’on compare les rémunérations des hommes et des femmes occupant les mêmes postes et ayant les mêmes caractéristiques.